Pour ceux qui sont intéressés où ont le temps, vous pouvez toujours lire l'intégralité du message ...
Pour les autres, voici quelques extraits croustillants, ou dramatiques :
"Ils décidèrent en fait que M. Surace, en tant qu’expert éminent de Ju-Jitsu, avait tout le droit de qualifier « bidon » ce que Domagata, Rougé et la FFJDA affichaient comme Ju-Jitsu."
"Et quant à la troisième plainte, prétendant que M. Surace n’avait pas le droit d’enseigner le Ju-Jitsu en France, il put y intervenir en ayant appris juste à temps l’existence, et les juges (31e Chambre, président Marie-Christine Plantin, assesseurs Jean François Monereau et Catherine Raynouard) tranchèrent que M. Surace et ses assistants (dont deux champions du monde de Ju-Jitsu, combats libres sans catégorie de poids, Patrick Perier et Franck Grillot) avaient le plein droit d’enseigner cet art martial dans l’Hexagone."
"De plus ces juges tinrent à vérifier soigneusement l’origine des connaissances du plus haut niveau en Ju-Jitsu de maître Surace, en potassant les étapes de sa formations et les détaillant, noir sur blanc, dans leur jugement, à confirmation du niveau exceptionnel de sa compétence et de son grade particulièrement prestigieux de 10e Dan Menkyo Kaiden."
"Il s’agit donc de trois défaites particulièrement cuisantes pour ces deux messieurs, dont on se demande qu’on attend à les affecter à de rôles plus conformes à leurs curieuses caractéristiques. ..
D’autant que par exemple M. Rougé est actuellement investi d’une autre affaire inquiétant, celui d’un dirigeant de sommet, très réputé internationalement, de la fédération de Judo FFJDA, M. François Besson qui, harcelé justement par ce M. Rougé, s’est suicidé juste devant le siège de cette fédération, après lui avoir envoyé un courrier très détaillé…"
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Infos-Inter
agence internationale de presse
infointer@free.fr Texte en français 27 novembre 2010
Paris. Scandale
au Palais de Justice
…qui donne parfaitement raison à M. Nicolas Sarkozy lorsqu’il prône l’élimination du rôle de juge d’instruction.
On doit assister en fait au phénomène d’une juge d’instruction, Mme Carine Rosso, laquelle a pu abuser de façon indigne les juges d’un Tribunal parisien (16e Chambre, présidents d’abord M. Jean-Paul Albert et ensuite Mme Nathalie Dutartre) en renversant totalement la réalité par une « instruction » délirante
Où elle invente qu’un gardien de gymnase avait été fait tomber violemment sur le dos par une voiture qui aurait heurté une barrière métallique qui à son tour aurait heurté le gardien, lequel par conséquent serait « chuté » rudement sur son dos…
Ce qui aurait engendré au même gardien toute une série de graves problèmes physiques et psychiques (« traumatisme lombaire, choc émotionnel, réactions anxieuses et dépressives prolongés dans le temps »…)
Et cela alors que cette « chute » n’avait pas existée, ayant été exclue constamment par le gardien lui-même et par tous les témoins présents aux faits !
Si bien que le Procureur de la république de Paris l’avait déjà excluse, après une enquête très soignée
Et le directeur, un rédacteur et l’éditeur du quotidien « Le Parisien » (Philippe Amaury, Jérôme Glaize et « Le Parisien Libéré SNC ») avaient été condamnés pour diffamation, en voie définitive et exécutoire, pour avoir publié la fausse nouvelle de la « chute » et de ses prétendues conséquences
En réalité la cause des problèmes physiques et psychiques du gardien remontaient à bien d’autres raisons très antérieures, dont une chute qu’il avait effectivement eu quelques années avant, avec conséquents problèmes au dos, laquelle lui avait comporté un arrêt de travail supérieur aux 8 jours (ainsi qu’admis par lui-même à un capitaine de police pendant l’instruction)
Outre aux combats très rudes de karaté qu’il avait pratiqué pendant des années et à ses efforts très poussés de musculation, eux aussi admis par lui-même
Il s’agissait donc d’une tentative effrontée, de la part de Mme Rosso, d’attribuer à la personne qui était au volant de la voiture la cause des problèmes physiques et psychique du gardien remontant en réalité à bien avant
Mais, hélas, cette dame était mal tombée, car celui auquel avait eu la bonne idée d’adresser cette fausse accusation n’était autre que Stefano Surace, le légendaire as italien du journalisme d’enquêtes, doublé d’un maître de Ju-Jitsu supérieur, renommé mondialement entre autre pour sa non-violence.
Lequel est en train de terminer un livre-enquête sur cette affaire… si bien qu’il faut penser qu’on en verra des belles
Mais passons aux détails
A la suite d’une plainte fantaisiste - présentée de façon effrontée après ladite décision du Procureur de la République qui avait exclu la « chute », et après la condamnation reçue par le « Parisien » - l’instruction conséquente fut confiée d’abord à la juge Marie Gonelle, qui fit un travail correct, mais ensuite à cette Mme Carine Rosso.
Laquelle d’abord omit d’évoquer et d’insérer dans l’instruction le dossier de l’enquête du Procureur .
Et on la comprend… Se elle l’avait inséré, son accusation se serait tout simplement écroulée.
De plus, elle s’adonna à affirmer, de façon toute-à-fait délirante, l’existence de cette « chute » du gardien… Et cela bien qu’exclue constamment, pendant toutes les phases de l’instruction, par le gardien lui-même et par tous les témoins présents aux faits, y compris ceux indiqués par l’avocate du gardien (sauf un type évidemment faux, un farfelu démenti par tous, lequel, n’ayant pas été en réalité sur le lieu, disait d’avoir tout vu depuis… 50 mètres !).
De plus cette madame Rosso allégua une « expertise médicale » qui « attestait » que les problèmes physiques et psychiques de ce gardien venaient sûrement de cette chute… qui par contre n’existait pas !
Et pourtant l’arnaque de cette Mme Rosso sembla réussir pendant quelque temps, car celui qu’elle accusait d’avoir causé cette « chute » (c’est dire justement M. Stefano Surace) n’était pas en France en cette période et donc n’était pas au courant des agissements de cette dame, et ne pouvait pas les démasquer.
Par conséquence, cette « instruction » fut suivie d’un procès devant la 16e Chambre du Tribunal de Paris.
Lequel, abusé par ladite « instruction », émit une condamnation contre l’accusé - toujours à l’insu de celui-ci - à… un an d’emprisonnement ferme, assorti de dommage-intérêts pour 61.000 euros !
Mais cette dame était mal tombée…
Mais, hélas, cette étrange « juge d’instruction » était mal tombée, car celui qu’elle avait eu la bonne idée d’accuser n’était autre que Stefano Surace, le légendaire as italien du journalisme d’enquêtes, doublé d’un maître de Ju-Jitsu supérieur, renommé mondialement entre autre pour sa non-violence.
Dont les techniques de défense qu’il enseigne à ses élèves ne visent pas à blesser l’agresseur, mais à le neutraliser sans lui produire dégâts physiques.
Si bien qu’elles sont très appréciées par les policiers français, leur évitant des bavures, lesquels tiennent, à tous les niveaux (y compris les sommets) à être ses élèves.
Ce qui a fait gratifier M. Surace de plein de reconnaissances et de décorations de la part, par exemple en France, de M. Jacques Chirac, et à l’étranger par innombrables organismes nationaux et internationaux.
A remarquer entre autres que ladite Mme Rosso avait eu toute aise pour mettre au courant de son « instruction », selon son précis devoir, M. Surace, même s’il n’était pas en France en cette période.
Il s’agit en fait d’un personnage très connu internationalement, si bien que même un gamin n’aurait mis plus d’une dizaine de minutes à le contacter, tout simplement en tapant « Stefano Surace » sur Internet : rien que sur Google il aurait obtenu environ 10.500 réponses…
Ce qui aurait permis d’emblé de le joindre en personne ou par les biais de ses collaborateurs, ainsi qu’il s’était vérifié pour d’autres procédures en France, où il avait pu intervenir en temps utile et les déjouer aisément.
Mais Mme Rosso n’avait fait rien de cela, alors que la police et la justice françaises disposent d’excellents experts en informatique, qu’elle avait pourtant omis d’utiliser.
Par conséquent seulement par la suite M. Surace put savoir par hasard de cette condamnation, si bien qu’il en exigea l’annulation (car elle avait été émise justement en son absence, par défaut) et que le procès devait être refait en sa présence.
On fixa donc le nouveau procès pour le 18 janvier 2010, mais à l’audience M. Surace se rendit compte que ce tribunal (présidente Mme Nathalie Dutartre) était totalement abusé par l’instruction bidon de Mme Rosso.
Il eut soin alors, après l’audience, d’envoyer au tribunal un mémoire détaillé qui démasquait l’arnaque.
Il s’agissait donc d’une contribution de sa part, approfondie et documentée, afin que la vérité, jusque-là piétinée, fût finalement établie, évitant entre autre à la Justice une bavure de taille.
Si bien que la juge Dutartre était tenue à apprécier cette contribution, et à examiner le mémoire avec le maximum d’attention.
Et pourtant elle omit tout simplement de l’examiner, en prétextant qu’ il aurait été présenté… « tardivement » !
Cette juge se borna donc à réduire à deux mois avec sursis la précédente absurde condamnation par défaut à un an de prison ferme… mais en confirmant les également absurdes dommages-intérêts pour 61.000 euros environ…
A la Cour d’Appel
M. Surace présenta alors appel contre ce jugement, après quoi, pris par ses activités intenses de journaliste envoyé spécial, repartit pour l’étranger (notamment Italie et Espagne).
A ce point le devoir de la Cour d’Appel était de rétablir enfin la vérité en balayant cette condamnation résiduelle du Tribunal.
A ce sujet, M. Surace tient à affirmer qu’il a confiance en cette Cour, étant donnée l’évidence des faits.
Et pourtant plusieurs milieux de la presse, de la Justice et de la politique ne peuvent s’empêcher de manifester des perplexités à ce sujet, en raison d’un épisode qui s’est vérifié à l’audience tenue devant cette Cour d’appel le 12 novembre 2010.
Cette audience en fait avait été fixée justement pour ce 12 novembre, toutefois de cette date avait été informée seulement l’avocate qui avait assisté M. Surace devant le tribunal, mais qui n’était plus son avocate n’ayant plus son mandat.
Par conséquent, M. Surace ne put apprendre la date de l’audience que, par hasard, quelques jours avant ce 12 novembre.
Il fut donc obligé de charger en catastrophe une autre avocate, Me Christine Cohen, juste quatre jours avant l’audience.
Or ces quatre jours étaient absolument insuffisant pour que Me Cohen puisse obtenir et étudier le dossier du procès (pesant à peu près… une dizaine de kilos !) si bien qu’elle, à l’audience, demanda gentiment à la Court de reporter de quelques jours le débat.
A ce point la Cour, pour des raisons élémentaires d’équité, n’aurait pu qu’accueillir la demande.
Et pourtant ces juges (président Gérard Lorho, assesseurs Martine Sem et Alain Osmont : pôle 4, chambre 9) la… rejetèrent, avec une décision qui foulait aux pieds toute garantie élémentaire pour la défense, car obligeait l’avocate de M. Surace à le défendre sans avoir pu étudier ce dossier de 10 kilos !
Comme on le voit, ces juges commençaient plutôt mal leur travail, ce qui n’a pu que justement engendrer des vives perplexités sur leur équité dans plusieurs milieux de la presse, de la Justice et de la politique…
Le… coup de théâtre
L’audience eut donc lieu, tant bien que mal, sur-le-champ… Mais il y eut tout de suite une sorte de coup de théâtre : en fait le gardien, interrogé, admit carrément de n’être pas chuté.
Or, il est vrai qu’il avait déjà constamment déclaré cela pendant l’instruction, ainsi que tous les témoins (sauf le farfelu faux).
Mais ces déclarations ne résultaient nulle part dans le jugement du tribunal qui avait « condamné » M. Surace (et contre lequel il avait fait justement appel).
Ayant été tout simplement omises par la présidente de ce tribunal, Mme Nathalie Dutartre, dans les motifs du jugement, en harmonie touchante avec l’« instruction » bidon de Mme Rosso.
Et cela malgré le mémoire détaillé que M. Surace, ainsi que nous avons déjà précisé, avait adressée à la même Mme Dutartre, mais que celle-ci n’avait pas voulu voir sous prétexte qu’il était…« tardif ».
Ainsi étant les choses, la déclaration du gardien devant la Cour d’Appel de n’avoir pas chuté devenait un véritable coup de théâtre, car révélait d’emblé à la Cour cette circonstance fondamentale qui avait été tout simplement cachée par le tribunal.
Ce qui faisait automatiquement écrouler toute consistance de la « condamnation » émise contre M. Surace, entièrement « fondée » qu’elle était sur cette « chute » qui se révélait justement inexistante.
A ce point, même le Ministère Publique, qui était là pour soutenir l’accusation, visiblement troublé par cette révélation, refusa carrément de cautionner, entre autres, la demande abracadabresque de dommages-intérêts.
On peut donc estimer que - malgré le mauvais départ de l’audience avec le refus surprenant de la déplacer de quelques jours pour permettre à l’avocate de M. Surace d’étudier le dossier de 10 kilos - la Cour se trouve finalement en condition d’obtempérer à son devoir de balayer cette « condamnation ».
D’autant que, si la Cour essaierait par contre de couvrir les délires de l’ « instruction », et la conséquente erreur du tribunal, ce serait pour la justice française une véritable infortune, salissant lourdement son image.
En fait M. Surace a rédigé sur cette affaire scandaleuse - qui donne parfaitement raison à M. Sarkozy lorsqu’il prône l’élimination du rôle de juge d’instruction - l’un de ses livres-enquête, et il n’attend que les conclusions de la Cour pour le compléter et le faire paraître.
Et il faut penser qu’il serait bien content de pouvoir annoncer que, grâce à la lucidité et à la sagesse de la Cour, finalement justice ait été faite, quoique un tantinet en retard…
Mais comment une telle arnaque
a pu être mis en place ?
Mais à ce point une question vient immédiate à l’esprit : comment a été possible que cette Mme Carine Rosso ait pu mettre en place et prolonger une telle arnaque ?
A ce sujet il faut savoir que M. Surace, en tant que journaliste d’enquête et maître d’arts martiaux de renom mondial, avait critiqué durement (en Italie on l’appelle « la plume-dynamite ») certains comportements d’un adjoint au sport du maire de Paris Bertrand Delanoë, tel Pascal Cherki, de la directrice à l’époque de la jeunesse et de sport de cette ville, Mme Valérie de Brem et de deux dirigeants d’une Fédération de Judo, la FFJDA : le président Jean-Luc Rougé et le responsable du secteur « Ju-Jitsu », Eugène Domagata.
Et voila qu’un dépendant de ladite Direction de la Jeunesse et de Sports - justement le gardien de gymnase en question - fut poussé à présenter une plainte contre M. Surace, en l’accusant faussement de l’avoir blessé.
Après quoi Mme De Brem rédigea contre M. Surace un courrier qui fut passé au quotidien « Le Parisien », lequel à son tour, sur la base de ce courrier, fit paraître un article farci de mensonges contre M. Surace.
Mais, hélas, la plainte du gardien fut classée sans suite par le Procureur de la République qui, après une enquête très soignée, avait conclu qu’elle était sans fondement.
Et le directeur, un rédacteur e l’éditeur du « Parisien » furent condamné pour diffamation en voie définitive et exécutoire.
Ensuite le Maire de Paris M. Delanoë « souleva » Mme De Brem et M. Cherki de leurs charges…
Toutefois cette affaire avait eu une large résonnance même au niveau international, avec des dures réactions dans les milieux sportifs et des médias, avec une sévère campagne de presse à la faveur de M. Surace.
Si bien que, d’après certaines sources autorisées, l’affaire contribua de façon décisive à ne pas faire attribuer à Paris le Jeux Olympiques 2012, que pourtant on tenait pour acquis.
Ayant donné internationalement une image chaotique et peu fiable des instances sportives parisiennes.
Et pourtant des médias avaient mis en garde à plusieurs reprises les autorités parisiennes sur le danger décisif que cette affaire faisait courir à cette candidature…
Dès qu’il se transféra en Italie…
Quant aux deux dirigeants de la FFJDA, M. Rougé et M. Domagata, que M. Surace avait durement critiqués, ils n’osèrent pas, d’abord, porter contre celui-ci des plaintes visiblement sans espoir.
Toutefois par la suite M. Surace se transféra en Italie pour des raisons professionnelles, après avoir vécu depuis une trentaine d’années le plus souvent à Paris en tant que correspondant officiel, accrédité par gouvernement français, d’agences de presse italiennes ; et en tant que président d’une fédération international de Ju-Jitsu et de clubs parisiens de cet art martial.
Et voilà que, vu son départ, MM. Rougé et Domagata prirent courage et présentèrent contre lui pas moins que trois plaintes, demandant à la Justice de trancher que celui-ci et ses assistants n’avaient pas le droit d’enseigner le Ju-Jitsu en France ; et qu’on le condamne pour diffamation pour avoir affirmé entre autres que le « Ju-Jitsu » affiché par Domagata, Rougé et la FFJDA était « bidon ».
Et en demandant par conséquent qu’il soit condamné, dans l’ensemble, à… 5 ans environ de prison !
Ils confiaient en fait dans la circonstance que, M. Surace n’étant plus en France, leurs plaintes auraient fait leur chemin judiciaire tranquillement à son insu, aboutissant aisément à le faire condamner.
En même temps, avec un parfait synchronisme, le gardien dont la fausse plainte avait été déjà classée sans suite par le Procureur de la République, fut poussé à déposer une nouvelle plainte, cette fois auprès du Doyen des juges d’instruction.
Plainte à coup d’oeuil foireuse que l’avocate de ce gardien, Nicole Benoits-Blanc, profitant du fait qu’il était presque analphabète, la lui avait fait signer même si y était affirmée l’existence de cette « chute », c’est dire tout simplement le contraire de ce qu’il avait toujours déclaré aux autorités, et qu’il déclarera par la suite !
Il s’agissait donc d’une manipulation plus qu’ évidente de ce gardien…
Un synchronisme parfait,
mais les juges ne furent pas dupes
En outre, toujours en parfait synchronisme (c’était décidément le bon moment, vu que M. Surace n’était plus là…) une dirigeante de la DRDJS (la Direction régionale et départementale de la jeunesse et des sports) envoya un courrier à la DJS (la Direction de la Jeunesse et des Sports de la Mairie de Paris) affirmant qu’un club parisien fondé par M. Surace (le célèbre Koryu Club de France) ne s’était pas déclaré auprès de la même DRDJS et que personne dans ce Club n’était habilité à enseigner.
Et donc il fallait révoquer en urgence au Koryu l’utilisation des salles municipales…
Comme on le voit, il s’agissait d’attaques bien synchronisées, misant sur l’absence de M. Surace de la France.
Or l’attaque de la dirigeante de la DRDJS échoua tout de suite car M. Surace, prévenu à temps par de ses élèves, débarqua inopinément à Paris et finalement il résulta qu’en réalité le Koryu s’était bien déclaré, mais cette dirigeante omettait arbitrairement d’en délivrer l’attestation…
Quant à la plainte du gardien auprès du Doyen des juges d’instruction nous en avons déjà vu en détail les développements…
Et quant aux trois plaintes de Rougé et Domagata , les juges du tribunal chargé de s’occuper des deux plaintes pour diffamation (17e Chambre, président Joël Boyer, assesseurs Philippe Jean-Draeher et Alain Bourla ; et ensuite président Anne-Marie Sauteraud, assesseurs Nicolas Bonnal et Joël Boyer) ne furent pas dupes, malgré l’absence de M. Surace.
Ils décidèrent en fait que M. Surace, en tant qu’expert éminent de Ju-Jitsu, avait tout le droit de qualifier « bidon » ce que Domagata, Rougé et la FFJDA affichaient comme Ju-Jitsu.
Et quant à la troisième plainte, prétendant que M. Surace n’avait pas le droit d’enseigner le Ju-Jitsu en France, il put y intervenir en ayant appris juste à temps l’existence, et les juges (31e Chambre, président Marie-Christine Plantin, assesseurs Jean François Monereau et Catherine Raynouard) tranchèrent que M. Surace et ses assistants (dont deux champions du monde de Ju-Jitsu, combats libres sans catégorie de poids, Patrick Perier et Franck Grillot) avaient le plein droit d’enseigner cet art martial dans l’Hexagone.
Trois défaites cuisantes
De plus ces juges tinrent à vérifier soigneusement l’origine des connaissances du plus haut niveau en Ju-Jitsu de maître Surace, en potassant les étapes de sa formations et les détaillant, noir sur blanc, dans leur jugement, à confirmation du niveau exceptionnel de sa compétence et de son grade particulièrement prestigieux de 10e Dan Menkyo Kaiden.
Conclusion, le trois tribunaux, après avoir aussi durement matraqués les prétentions du couple Rougé-Domagata, leur donnèrent une sorte de… lot de consolation, en « condamnant » M. Surace à… 2000 euros d’amende avec sursis, au lieu des 5 ans environ de prison qu’ils avaient demandés dans l’ensemble…
Il s’agit donc de trois défaites particulièrement cuisantes pour ces deux messieurs, dont on se demande qu’on attend à les affecter à de rôles plus conformes à leurs curieuses caractéristiques. ..
D’autant que par exemple M. Rougé est actuellement investi d’une autre affaire inquiétant, celui d’un dirigeant de sommet, très réputé internationalement, de la fédération de Judo FFJDA, M. François Besson qui, harcelé justement par ce M. Rougé, s’est suicidé juste devant le siège de cette fédération, après lui avoir envoyé un courrier très détaillé…
Mais pour l’instant il s’agit tout simplement de voir si les juges de la Cout d’Appel (président Gérard Lorho, assesseurs Martine Sem et Alain Osmont ; chambre 9, pôle 4) auront la même perspicacité de ceux de la 17e e de la 31e Chambre du Tribunal.
Ou bien ils se feront abuser par cette Mme Rosso, donnant un coup mortel à l’image prestigieuse de la Justice français.
Affaire à suivre…
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