Ferrid Kheder dénonce les méthodes de la FFJDA ! Quenelles, et révélations en rafale !
https://www.facebook.com/ferridhurricanekheder?directed_target_id=0https://www.facebook.com/quenelleolympiquefkhttp://www.hurricanekheder.com/https://judoka.forumactif.org/t412-ferrid-kheder-glisse-une-quenelle-olympique-a-la-ffjda#831Voici quelques révélations, articles de presses, témoignages en vrac !
Bernadette Chirac
Les zones grises des pièces jaunes
La fameuse collecte orchestrée par l'épouse du président rapporte de moins en moins. Mais les coûts augmentent. Qui paie?
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/les-zones-grises-des-pieces-jaunes_482300.htmlViols au judo : "Mensonges, manipulations, stratagèmes"
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2007/10/26/1042673_mensonges-manipulations-stratagemes.htmlUn professeur de judo écroué pour pédophilie
http://www.ladepeche.fr/article/2000/07/29/276005-un-professeur-de-judo-ecroue-pour-pedophilie.htmlDavid Douillet: lourd en judo, léger en affaires.
Dans la faillite de Travelstore, le judoka n'est pas la victime qu'il prétend être! L'affaire Travelstore est renversante. Le 16 juillet, le tribunal de
commerce de Paris prononçait la liquidation judiciaire de ce supermarché du voyage, la deuxième en deux ans. L'un des associés de Travelstore n'est autre que David Douillet. Soucieux de protéger son image, le champion olympique de judo (lourds) accorde alors un entretien au Parisien: «J'ai été piégé par des escrocs, je suis dégoûté.» Deux mois plus tard, on y voit un peu plus clair: c'est plutôt David Douillet qui a «piégé» ses associés de Travelstore, grâce au soutien du tribunal de commerce. Le judoka est financièrement indemne; dans le même temps, certains actionnaires ont tout perdu ils envisagent de porter plainte. De quoi être «dégoûté», en effet.
Dommage, car tout avait commencé dans un climat de franche et virile camaraderie, celle du club PSG-Judo. Le meneur de la bande est Jean-François Bonnet, judoka dans les années 60 (mi-lourds), puis entraîneur de Thierry Rey, champion olympique en 1980 (super-légers). Au début des années 90, Bonnet devient manager du PSG-Judo, qui dispose de deux jeunes pousses: David Douillet et Nasser Néchar, champion de France (mi-légers).
Du tatami aux affaires. Cette chouette équipe remporte en 1995 la coupe d'Europe des clubs avec le PSG, avant de s'intéresser aux affaires. Toujours sous l'impulsion de Jean-François Bonnet, qui a l'idée de reprendre Travelstore, en dépôt de bilan depuis février 1996. L'ex-judoka avait eu une première expérience malheureuse (une histoire de fausses factures dans la construction), soldée par une interdiction de gérer. Mais ses petits gars sont là: Douillet servira de support publicitaire, et Néchar, diplômé en gestion, fera un excellent directeur financier.
Pour boucler le tour de table, on tape quelques copains. Comme René Gentils, médecin du PSG-Judo, qui lui-même tape quelques collègues. On recrute Patrick Caradec, ancien dirigeant de Jet Service, puisqu'il faut bien quelqu'un qui s'y connaisse en voyages. Claude Vérona, qui possède une boîte de nettoyage, met aussi quelques billes: le prix à payer pour pouvoir côtoyer des champions.
Mais la bande reste incomplète manque un vrai capitaliste. Entre alors en scène Périclès Prokopiadis, judoka de la génération de Thierry Rey. Rangé des tatamis, Prokopiadis possède un restaurant à Paris, le Péristyle. Un de ses plus fidèles clients est Olivier Sauvan, administrateur judiciaire à Nanterre et vedette des affaires: «Jusque dans les loges du parc des Princes, il y avait toujours quelqu'un pour le saluer», note un des associés. Sauvan apporte la plus grosse part de l'argent (13 millions de francs) et son entregent. Prokopiadis sera président du nouveau Travelstore.
On est en novembre 1996, et Marie-José Josse, liquidateur judiciaire de Travelstore première formule, refuse de donner les clés à une équipe emmenée par Sauvan: un administrateur judiciaire a certes le droit d'investir dans une entreprise, mais pas d'exercer un mandat social à sa tête. Et puis les magouilles du tribunal de commerce de Nanterre (où travaille Sauvan), commencent à faire jaser.
La bande se constitue malgré tout en société, avec un organigramme pléthorique ou tout le monde se case tant bien que mal. Sauvan, notamment, est vice-président du conseil de surveillance ce qui est illégal. La Société nouvelle de tourisme ITC (c'est son nom) a réussi à récupérer le bail et les meubles de l'ancien Travelstore. Quelques jours avant l'inauguration, le 17 février 1997, panique à bord: l'équipe s'aperçoit qu'elle ne dispose pas de la marque Travelstore, toujours bloquée par Me Josse. Premier miracle, une ordonnance signée par le président du tribunal de commerce de Paris, Jean-Pierre Mattei, débloque la situation in extremis. Sauf que le marque est cédée, non pas à la société, mais à David Douillet à titre personnel. «Imaginez que surgisse un désaccord entre associés, souligne un proche du judoka. Détenir la marque est un moyen de pression et de négociation.» Douillet n'est plus le petit chose des affaires.
Les gazettes évoquent alors un champion olympique qui «prête» son image à une nouvelle aventure commerciale. Le terme est impropre, puisqu'il bénéficie d'un contrat d'image de 1,3 million de francs sur trois ans. «C'était son seul salaire», plaide son entourage. Sauf que Douillet reste, par ailleurs, salarié du Crédit Lyonnais, en tant qu'«attaché de direction».
Une autre catastrophe est à venir. Le jour de l'inauguration, Olivier Sauvan est absent. On apprendra quelques jours plus tard qu'il a été mis en examen pour escroquerie, et incarcéré à Nanterre. Avec son collègue Jean-Michel Goulletquer, ils sont soupçonnés d'avoir détourné 200 millions de francs appartenant à des entreprises en dépôt de bilan (Chausson, Jacadi"). On comprend mieux les préventions initiales de Me Josse, même si personne ne pouvait alors imaginer de telles péripéties.
Les amitiés corréziennes. De prison, Sauvan met son paquet d'actions (35% du capital) à la disposition de qui en voudra, pour un franc symbolique. Douillet remplace Sauvan à la vice-présidence du conseil de surveillance, mais pas ses millions: Sauvan devait renflouer Travelstore durant les deux premières années de pertes prévisionnelles.
ça sent le roussi, et David Douillet demande conseil à Pierre Dauzier, président de Havas. Pourquoi sonder un concurrent de Travelstore? Parce que Dauzier fait partie de la bande corrézienne de Jacques Chirac, que Douillet est intime de Bernadette Chirac ensemble, ils ont parrainé l'opération «Pièces jaunes» au profit de l'Assistance publique. Le verdict de Pierre Dauzier est prévisible: Travelstore va dans le mur. Le nez dans les comptes, Samir Néchar sonne aussi l'alarme. De la finance, l'affaire Travelstore vire alors à la rubrique faits divers.
Dès l'origine, les associés avaient convenu de procéder à une augmentation de capital de 3 millions de francs, pour combler les pertes de la première année. Près de 1 million de francs étaient déjà consignés sur un compte spécifique (n°10011126329) à la Banque Scalbert Dupont, filiale du CIC: y figurent notamment les parts de Bonnet (450 000 F) et Douillet (400 000 F).
Le 24 avril, au cours d'un conseil de surveillance orageux, David Douillet (196 cm, 132 kg) casse du mobilier un témoin l'atteste et exige qu'on lui rende ses 400 000 F. Il obtiendra son chèque, de même que Claude Vérona. Désormais, c'est la «bande à Douillet» (qui panique) contre la «bande à Bonnet» (qui y croit encore).
Ce coup de force va précipiter la faillite de Travelstore qui n'est pas due à des escroqueries régulièrement dénoncées par Douillet, mais simplement à un mauvais montage financier. Pour se justifier, ses conseillers vont jusqu'à prétendre que l'assemblée générale du 24 mars, qui devait décider de l'augmentation de capital, n'a jamais eu lieu. Des actionnaires ont pourtant reçu une convocation, s'y sont rendus, ont voté l'augmentation de capital et apporté des fonds. Ils sont quelques-uns à pouvoir en témoigner, mais, curieusement, il n'existe aucune trace écrite de cette AG. Pas de PV, pas d'AG.
Miracles en série. Détail de l'histoire: les 400 000 F apportés, puis retirés, par Douillet proviennent en partie du premier versement de son contrat-image (241 000 F réglés deux mois avant l'ouverture du magasin). Non seulement il a peu misé en cash, mais il a tout récupéré. «J'ai perdu mon argent et c'est moi qu'on accuse», affirme-t-il pourtant dans un récent entretien au JDD. Contacté par Libération, David Douillet n'a pas souhaité s'exprimer. «J'ai assez trinqué comme ça», nous a-t-il expliqué.
Puis la guéguerre dégénère franchement. Douillet se dit entouré d'«escrocs»: il veut parler de Didier Sauvan, mais aussi de Jean-François Bonnet, qui lui aurait caché son interdiction de gérer. Mieux, ce dernier aurait trafiqué sa date de naissance pour que personne ne prenne connaissance de son passé. «La situation de Bonnet était connue de tous depuis le début, rétorque le docteur René Gentils, membre du conseil de surveillance. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il n'avait aucun pouvoir de signature.» Bonnet lui-même se dit abasourdi par le revirement de son ancien poulain.
Qu'importe, David Douillet appelle au secours le tribunal de commerce. Second miracle: à sa requête du 12 mai, réclamant la désignation d'un administrateur ad hoc (une sorte d'arbitre), répond une ordonnance du 14 mai désignant un administrateur provisoire (chargé de gérer la boîte). Toujours signée par Jean-Pierre Mattei.
L'usage veut que si un actionnaire minoritaire (c'est le cas de Douillet) réclame un arbitrage du tribunal de commerce, il doit le faire par voie de référé, afin que les débats soient contradictoires. Or, l'ordonnance de Jean-Pierre Mattei donne satisfaction à la bande à Douillet sans que la bande à Bonnet soit consultée: une pratique fréquente mais peu recommandée.
Coup de fil à l'Elysée. Interrogé par Libération, le président du tribunal de commerce ne se souvient pas avoir signé la moindre ordonnance concernant Travelstore. Puis, prenant connaissance de documents comportant sa signature, Jean-Pierre Mattei nous a expliqué qu'il paraphe beaucoup d'ordonnances, dont certaines sont prérédigées par ordinateur. Bref, que sa signature ne vaut pas connaissance d'un dossier.
Néanmoins, les tribunaux de commerce sont coutumiers
Quatorze ans pour le prof de judo pédophile
http://www.leparisien.fr/val-de-marne/quatorze-ans-pour-le-prof-de-judo-pedophile-27-10-2007-3291338032.phpDouillet, c’est notre Schwarzy à nous !
http://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/douillet-c-est-notre-swarzy-a-nous-63127L'étrange mort de l'administrateur judiciaire ... "Jusqu'à sa mort, cet ancien associé de David Douillet dans l'agence de voyages Travelstore, dont la faillite a valu au judoka ses ennuis judiciaires ..."
http://m.leparisien.fr/faits-divers/l-etrange-mort-de-l-administrateur-judiciaire-18-07-2002-2003257007.phpDavid Douillet rame en politique
https://www.youtube.com/watch?v=koDLdn2xbLo