Les profs doivent reprendre le pouvoir!

Comment est-ce possible de continuer à travailler dans ces conditions?!

N'est ce pas hallucinant que les profs de judo soient dirigés par un bureau d'incappables avec comme "grand patron" un président qui bien souvent ne fait pas de judo et qui une fois arrivé au pouvoir se sent pousser des ailes et s'élève d'un coup dans la société le sortant de son anonymat et de sa vie misérable.

Exploités financièrement, sans aucune reconnaissance, dirigé par des incompétents, les profs de judo seraient-ils condamnés à vivre ainsi éternellement?

Le prof, c'est la roue motrice du club, c'est lui qui le fait vivre, qui amène des adhérents sur son tapis, qui ramène des médailles tous les week-end.

Dehors bandes de parasites juste bon à faire des réunions où on parle de tout sauf de judo.

Le fait de changer de président, ne résoudra pas le problème. Dans 1 ou 2 ans, il faudra recommencer la même opération avec tous les dommages colatéraux que cela occasionne. Je sais de quoi je parle car je l'ai fait plusieurs fois déjà, et je peux te dire que cela devient très, très pénible, surtout quand tu fais la même chose dans un deuxième club.
Le problème, c'est ce système associatif complètement dépassé et incompatible avec notre profession. Le simple fait d'être dirigé par des gens automatiquement moins compétent et motivé que le prof, est déjà une abération en soi. Je ne supporte plus que des incapables me donnent des ordres ou des conseils sur MON métier.

Moi je connais pleins de collègues qui en ont par dessus la tête d'être dirigés par des incompétents. Certains comme moi se battent dans leur club pour essayer de faire évoluer la situation, avec tous les problèmes que cela engendrent, d'autres sont condamnés à s'écraser de peur de perdre leur boulot. Car c'est bien de notre métier qu'il s'agit et non d'un passe temps comme pour ces foutus bénévoles qui viennent nous emmerder à longueur de journée pendant les cours pour les sortir de leurs vies monotones.

Club= prof dirigeant + élèves motivés.

A nous les profs de reprendre le pouvoir.