Citation : "Après les lettres tous azimuts, les interventions de 3 présidents de ligue.
Voila qu’un quatrième larron, y va d’une couche supplémentaire.
En effet le Président de cet organisme décentralisé, se centralise sur l’événement.
Il se fend pour cela d’une missive, « la lettre à Brigitte », ou il passe du coq a l’âne (ce qui ne lui est pas difficile)
Notre (très) cher Président commence donc par « Chère Brigitte »
Après expliquer, qu’on lui a relaté l’incident, étant absent pour raisons personnelles. (C’est lui qui le dit)
Il poursuit, « notre combattante aurait mordu son adversaire », « les arbitres n’ont rien vu », et comme ça ne suffit pas, il ose, « ils ont constaté une morsure qui aurait pu être antérieure à ce combat », bien voyons
Il s’insurge contre le fait qu’une personne a pris cette décision de disqualifier les combattantes, immensément surpris que lui n’est pas les même pouvoir, quand il veut virer un commissaire sportif du département.
Evoque le tournoi de Paris, non sans avoir rappelé, « Chère Brigitte », au cas ou elle l’aurait oublie, à propos de la bienveillance envers un compétiteur.
L’éternel passage sur les grands principes, pour demander d’annuler cette sanction, en précisant bien que dans le cas contraire, cela pourra avoir des conséquences irréversibles.
Pour terminer par un troisième « Chère Brigitte »
Bien sur ce résumé, n’à rien avoir avec la qualité humoristique de l’original.
Une piste à suivre pour aller vers une augmentation des licences, faire entrer le cirque dans les clubs, nous avons déjà un comique. "
Le plus comique, c'est que la lettre à peine arrivée porte de chatillon, le chère Brigitte" devra rapidement être modifié par "cher René"
Avec la nomination de Rambier à la place de Deydier